Roser Maneja, Directrice scientifique du #CTFC et du Centre International des Réserves de Biosphère Méditerranéennes, a participé à l’événement parallèle où a été présenté le tout premier rapport mondial sur les sites désignés par l’UNESCO — Réserves de biosphère, Sites du patrimoine mondial et Géoparcs mondiaux. Couvrant 2 000 sites à travers le monde, cette évaluation met en lumière les tendances liées à la biodiversité et au climat, les menaces, les opportunités, et explore comment ces territoires uniques contribuent à la conservation, à la résilience climatique et au développement durable.
🔍 Le panel « Déverrouiller le potentiel des sites de l’UNESCO » a examiné comment les données sur la nature, les cadres de suivi et les outils financiers stimulent l’action au bénéfice des populations, de la nature et de la culture.
Roser Maneja a contribué à la discussion sur la manière dont les cadres mondiaux de suivi, tels que le Cadre mondial pour la biodiversité de Kunming–Montréal (KM-GBF) et les Objectifs de développement durable (ODD), peuvent :
✅ Renforcer la reconnaissance des Réserves de biosphère dans les engagements mondiaux.
✅ Aligner le financement de la nature sur les besoins des communautés locales.
✅ Mettre en valeur le rôle de ces sites en tant que « laboratoires vivants » où convergent protection de la biodiversité, utilisation durable et bien-être humain.
📊 En adoptant des cadres mondiaux de suivi, les Réserves de biosphère peuvent rendre leurs contributions plus visibles et comparables que jamais — orientant les investissements, amplifiant l’impact et renforçant leur rôle dans la lutte contre les crises actuelles du climat et de la biodiversité.